C'est dans les yeux d'amande d'Amandine que je me rends compte de la fragilité des hélicoptères fiévreux.
Encore, et encore, je regrette la folie des derniers jours passés sous les mains des Dieux. Pourras-tu m'entendre d'aussi loin ?
Oublie ça et donne moi mon Coke.
J'espionne l'espoir des poires en-dessous des fugères endiablées de mortadelle.
Cacatoès, c'est l'essence de mon art. De mon art. Et la répétition aussi.
Public, asseyez-vous que je ne vous écoutes pas. Ce soir, je vous écoutes. Ah tiens, la contradiction. Tiens je regarde mon regard. Tiens, j'écris mon regard de mon regard. Too much. Non, mais, ça suffit la complaisance dans des bottes trop roses.
Je danserais bien, mais tu ne veux pas enlever tes pieds de sur ma face.
Horgontine est un nom affreux, peu importe l'être vivant ou l'objet inanimé à qui il peut être attribué.
Change-moi que je trouve en trombe mes supports à poule.
Coucou.
Je suis là. Et pas lui. Et pas elle non plus, d'ailleurs. Commençons par le début.Ils sont des blocs, des blocs, qui ne bougent pas, qui ne bougent pas. Et ce n'est rien du tout.
«L'agonie». Je parle bien du roman.
Je suis en colère de l'absence de ta peau dans mes yeux. Si jamais tu veux venir près de moi, ne me le demande pas ; viens, ne prends plus le temps, ne te déhydrates pas ; je t'attends.
Oui, oui. Oui. Faut croire ce qu'il faut croire. Croire ce qu'il faut croire.
Je ne sais plus quoi écrire, à part Hummus, car ça finit toujours bien une conversation.
dimanche, décembre 05, 2010
jeudi, juin 03, 2010
Conquête
Devant moi une montagne blanche de désir
En moi un soif grandissante de savoir et de culture
Les bras devant, je cours vers un chemin
Rocailleux, immense comme mon ignorance
Mes pieds et mes mains défrichent
Le chaos de mes aspirations
Pour frôler l'azimut de mes possibilités
Du moins, tenter l'autrefois impensable
Oublions la censure, libérons la démesure
Comme champ de bataille mon aveuglement
Croire en mes battements d'ailes
Créer mes propres engrenages
Et c'est le coeur empli de sang chaud
Que je me dirige vers la tornade de mes idées
Je n'ai pas besoin de ma chair
C'est en ma foi que je fais appel
Partons, maintenant
Et nous verrons
Ce qu'elle nous servira
Cette vie-ci
En moi un soif grandissante de savoir et de culture
Les bras devant, je cours vers un chemin
Rocailleux, immense comme mon ignorance
Mes pieds et mes mains défrichent
Le chaos de mes aspirations
Pour frôler l'azimut de mes possibilités
Du moins, tenter l'autrefois impensable
Oublions la censure, libérons la démesure
Comme champ de bataille mon aveuglement
Croire en mes battements d'ailes
Créer mes propres engrenages
Et c'est le coeur empli de sang chaud
Que je me dirige vers la tornade de mes idées
Je n'ai pas besoin de ma chair
C'est en ma foi que je fais appel
Partons, maintenant
Et nous verrons
Ce qu'elle nous servira
Cette vie-ci
mardi, mars 09, 2010
Voilà
La mort est, point.
C’est être qui tue.
C’est de naître
Qui condamne.
C’est de prendre ses mains
De les laisser fendre au vent
Et de serrer la main
À cet inconnu au loin
C’est de tenter d’attraper l’air
Qui chante sur nos têtes
Des mémoires fragmentées
De toutes ses pièces de corps
C’est de vouloir être apparence
Sans en avoir le besoin
C’est mettre ses yeux
À la place des miroirs
C’est de sortir de son manoir
Et gémir sur le parvis
En tombant comme un taré
Qui pleure ses amours enfuis
C’est de penser
Assez, ce n’est pas trop
Trop assez, ce n’est pas
Et trop, ce n’est pas assez
C’est être
Cet acte infiniment posé
Chaque jour nous est prêté
C'est un livre qui brûle un jour.
Voilà ce qui nous tue.
C’est être qui tue.
C’est de naître
Qui condamne.
C’est de prendre ses mains
De les laisser fendre au vent
Et de serrer la main
À cet inconnu au loin
C’est de tenter d’attraper l’air
Qui chante sur nos têtes
Des mémoires fragmentées
De toutes ses pièces de corps
C’est de vouloir être apparence
Sans en avoir le besoin
C’est mettre ses yeux
À la place des miroirs
C’est de sortir de son manoir
Et gémir sur le parvis
En tombant comme un taré
Qui pleure ses amours enfuis
C’est de penser
Assez, ce n’est pas trop
Trop assez, ce n’est pas
Et trop, ce n’est pas assez
C’est être
Cet acte infiniment posé
Chaque jour nous est prêté
C'est un livre qui brûle un jour.
Voilà ce qui nous tue.
mardi, mars 02, 2010
Mes personnages sans histoire
J'ai des personnages. Des émotions, des images. Dois-je les faire parler ou les laisser parler ? Voilà ma question.
J'ai :
Kriss et Fred. Fred est angoisse, destruction de soi. Kriss est colère, destruction de l'autre. Ils sont frères, mais ils s'aiment beaucoup plus. Voici ce qu'ils m'ont dit jusqu'à maintenant :
Kriss
Des mots charcute mon palais et ma langue. Ils tourbillonnent et m’étourdissent de colère. Ces mots sont anciens, sont issus de ma bouche depuis l’enfance. Depuis le jour où ceux qui nous ont appris à rire et à jouer nous ont aussi appris à crier et pleurer. Ce sont leurs noms, leurs noms puant la rancœur qui me racle les parois de mes entrailles. C’est du fond de mon ventre que les mots surgissent hors de ma bouche. Ceux qui m’ont mis au monde et m’ont expatrié du ventre de ma mère ont enfanté en moi une gorge profonde, noire qui, de jour en jour, se remplit de mots, de mots noirs et gris. Mais ce puits n’est pas sans fin. Il se remplit trop vite. Et quand il est à son maximum, tout le noir et le gris se mélangent, calfeutrent ma tête et mon cœur, et mes désirs deviennent rouge. Puis, les mots se subliment en force incontrôlable. Je deviens épileptique et mes cordes vocales s’époumonent. Mes bras et mes poings catapultent leur entourage. Je ne respire plus, je ne vois que ce je frappe. Fred, je m’excuse de devoir te faire subir cette rage chaque jour. Tu ne devrais pas m’aimer comme tu le fais.
Fred
Pourquoi ?
Kriss
Parce que je ne le mérite pas.
Fred
C’est moi qui ne te mérite pas.
Fred et Kriss
C’est moi.
Fred, le regardant dans les yeux
Laisse-moi tes bras.
Il s’y blottit. Kriss pleure.
Kriss
Excuse-moi.
Kriss l’embrasse.
***
Fred
M’entends-tu, Kriss ? Tes oreilles comprennent-elles ma langue ?
Kriss
Ta langue noire.
Fred
Je ne sais pas colorer mes mots.
Kriss
Je le sais. Je l’ai senti.
Fred
Je suis perdu. Dans mon cœur, dans le tien.
Kriss
Enlève ces mots. Ils me crispent les poings.
Fred
Je t’aime.
Kriss l’assène d’un coup de poing.
Kriss
Tu t’es perdu.
Fred l’aggrippe et l’embrasse. Ils s’embrassent d’une violente passion. Fred se brise.
***
Fred
Mon frère, j’attends que la lune me tue ici pour pouvoir t’avouer à quel point j’attends que tes yeux me crient que tu m’aimes. Je ne veux plus entendre tes mots de rage, d’ecchymoses et de coupures. Canalise ta force en ton désir, et prends mon corps comme tu prendrais un oiseau fragile tombé de son nid.
Kriss
Mon frère, j’ai appris à transformer mes larmes en sang de feu. Mes muscles m’appellent, tout l’engrenage des mes os s’activent en une furie incontrôlable. J’ai perdu le contrôle de mon corps, ma tête et mon cœur. Je panse mes plaies par mes pulsions de fracas. J’aimerais te dire des mots qui sonnent en ta tête perdue, qui résonnent en ton cœur marécageux. Mais ces mots, je ne les aie plus en moi.
Fred
Mords-moi. Peu importe mon corps qui souffrira, dévore-moi.
***
Fred
Qu’est-ce que t’attends ? Détruis-moi par dehors. Vas-y. J’ai caché ma peur sous ma peau de frissons. Crie sur moi.
Kriss
J’te veux sang et cœur, bouche et tripes, de glace pour que mes cris de feu te fondent. Comme un éclair de folie je veux t’aspirer par ma gorge armée. Te gober.
Fred
Avale-Moi.
Kriss
J’vais t’avaler.
*********
Quelle est leur histoire, selon vous ?
J'ai :
Kriss et Fred. Fred est angoisse, destruction de soi. Kriss est colère, destruction de l'autre. Ils sont frères, mais ils s'aiment beaucoup plus. Voici ce qu'ils m'ont dit jusqu'à maintenant :
Kriss
Des mots charcute mon palais et ma langue. Ils tourbillonnent et m’étourdissent de colère. Ces mots sont anciens, sont issus de ma bouche depuis l’enfance. Depuis le jour où ceux qui nous ont appris à rire et à jouer nous ont aussi appris à crier et pleurer. Ce sont leurs noms, leurs noms puant la rancœur qui me racle les parois de mes entrailles. C’est du fond de mon ventre que les mots surgissent hors de ma bouche. Ceux qui m’ont mis au monde et m’ont expatrié du ventre de ma mère ont enfanté en moi une gorge profonde, noire qui, de jour en jour, se remplit de mots, de mots noirs et gris. Mais ce puits n’est pas sans fin. Il se remplit trop vite. Et quand il est à son maximum, tout le noir et le gris se mélangent, calfeutrent ma tête et mon cœur, et mes désirs deviennent rouge. Puis, les mots se subliment en force incontrôlable. Je deviens épileptique et mes cordes vocales s’époumonent. Mes bras et mes poings catapultent leur entourage. Je ne respire plus, je ne vois que ce je frappe. Fred, je m’excuse de devoir te faire subir cette rage chaque jour. Tu ne devrais pas m’aimer comme tu le fais.
Fred
Pourquoi ?
Kriss
Parce que je ne le mérite pas.
Fred
C’est moi qui ne te mérite pas.
Fred et Kriss
C’est moi.
Fred, le regardant dans les yeux
Laisse-moi tes bras.
Il s’y blottit. Kriss pleure.
Kriss
Excuse-moi.
Kriss l’embrasse.
***
Fred
M’entends-tu, Kriss ? Tes oreilles comprennent-elles ma langue ?
Kriss
Ta langue noire.
Fred
Je ne sais pas colorer mes mots.
Kriss
Je le sais. Je l’ai senti.
Fred
Je suis perdu. Dans mon cœur, dans le tien.
Kriss
Enlève ces mots. Ils me crispent les poings.
Fred
Je t’aime.
Kriss l’assène d’un coup de poing.
Kriss
Tu t’es perdu.
Fred l’aggrippe et l’embrasse. Ils s’embrassent d’une violente passion. Fred se brise.
***
Fred
Mon frère, j’attends que la lune me tue ici pour pouvoir t’avouer à quel point j’attends que tes yeux me crient que tu m’aimes. Je ne veux plus entendre tes mots de rage, d’ecchymoses et de coupures. Canalise ta force en ton désir, et prends mon corps comme tu prendrais un oiseau fragile tombé de son nid.
Kriss
Mon frère, j’ai appris à transformer mes larmes en sang de feu. Mes muscles m’appellent, tout l’engrenage des mes os s’activent en une furie incontrôlable. J’ai perdu le contrôle de mon corps, ma tête et mon cœur. Je panse mes plaies par mes pulsions de fracas. J’aimerais te dire des mots qui sonnent en ta tête perdue, qui résonnent en ton cœur marécageux. Mais ces mots, je ne les aie plus en moi.
Fred
Mords-moi. Peu importe mon corps qui souffrira, dévore-moi.
***
Fred
Qu’est-ce que t’attends ? Détruis-moi par dehors. Vas-y. J’ai caché ma peur sous ma peau de frissons. Crie sur moi.
Kriss
J’te veux sang et cœur, bouche et tripes, de glace pour que mes cris de feu te fondent. Comme un éclair de folie je veux t’aspirer par ma gorge armée. Te gober.
Fred
Avale-Moi.
Kriss
J’vais t’avaler.
*********
Quelle est leur histoire, selon vous ?
dimanche, février 21, 2010
Le pendu
Comme un mobile immobile
Je tourne en restant couché
Recassant les mêmes visages
Crispés et accrochés en moi
Goût de poings dans la bouche
Contre ma peau devenue grise
J’attends la violence de près
Comme délivrance et pardon
Tout en gardant les yeux ouverts
Mais la tête qui danse sourdement
Je fuis ma main qui veut courir
Les fils suspendus de mon front
En me perdant je me trouve
En me trouvant je me perds
Si je ne comprends rien
C’est que j’ai tout compris
À quoi bon chercher les larmes
Si mes épines sont invisibles ?
À quoi bon crier à la nuit
Si la voix n’a pas raison de rire ?
Froid, il fait froid sans amour de soi
Neige qui brûle mes jours
Comme soleil de midi
Comme l’enfant naïf
Essouflé sur mon lit de pierres
J’ai le regard amer sur mon reflet
Dans l’eau de mes fumées
Épousant les courbes de mes couteaux
Soupir qui agite la mélancolie, respirations éveillant l’angoisse
Ce n’est qu’un vent doux d’un matin ou une tempête glaciale
Qui soulèvera mes jambes engluées dans les cicatrices
Pour me souffler comme la vie le mot «espoir»
Comme la vie
Comme vous
Comme moi
Comme tout
Je tourne en restant couché
Recassant les mêmes visages
Crispés et accrochés en moi
Goût de poings dans la bouche
Contre ma peau devenue grise
J’attends la violence de près
Comme délivrance et pardon
Tout en gardant les yeux ouverts
Mais la tête qui danse sourdement
Je fuis ma main qui veut courir
Les fils suspendus de mon front
En me perdant je me trouve
En me trouvant je me perds
Si je ne comprends rien
C’est que j’ai tout compris
À quoi bon chercher les larmes
Si mes épines sont invisibles ?
À quoi bon crier à la nuit
Si la voix n’a pas raison de rire ?
Froid, il fait froid sans amour de soi
Neige qui brûle mes jours
Comme soleil de midi
Comme l’enfant naïf
Essouflé sur mon lit de pierres
J’ai le regard amer sur mon reflet
Dans l’eau de mes fumées
Épousant les courbes de mes couteaux
Soupir qui agite la mélancolie, respirations éveillant l’angoisse
Ce n’est qu’un vent doux d’un matin ou une tempête glaciale
Qui soulèvera mes jambes engluées dans les cicatrices
Pour me souffler comme la vie le mot «espoir»
Comme la vie
Comme vous
Comme moi
Comme tout
samedi, décembre 26, 2009
Rendez-vous
Regarde-moi dans les yeux Dis-moi les mots que je crains
Frappe-moi, Crie-moi
Que je suis là, bien à toi
Réveille-moi
Je suis assoupi
Sur une table
Colle ma peau
Évoque-lui ton toucher
Et ta main
Au moins
Et si tu dansais ?
Et si tu valsais mes pieds
Contre les miens
Que je tombe contre toi ?
Essouflé
Je respire
Je fume
J’attends
La voix comme miles gorges noués
Enlacé de tes doigts fantômes
Arrive. Viens-tu, viens-tu ?
J’entends tes pas descendre l’escalier.
Oui, oui, te voilà enfin, prêt à me voir.
Dans ton regard, tes yeux.
Attends
Que je sois beau.
…
Ok.
Et puis ?
M’aimes-tu ?
Frappe-moi, Crie-moi
Que je suis là, bien à toi
Réveille-moi
Je suis assoupi
Sur une table
Colle ma peau
Évoque-lui ton toucher
Et ta main
Au moins
Et si tu dansais ?
Et si tu valsais mes pieds
Contre les miens
Que je tombe contre toi ?
Essouflé
Je respire
Je fume
J’attends
La voix comme miles gorges noués
Enlacé de tes doigts fantômes
Arrive. Viens-tu, viens-tu ?
J’entends tes pas descendre l’escalier.
Oui, oui, te voilà enfin, prêt à me voir.
Dans ton regard, tes yeux.
Attends
Que je sois beau.
…
Ok.
Et puis ?
M’aimes-tu ?
vendredi, décembre 25, 2009
Lit blanc
Sur mon lit blanc
Le sang de mes angoisses s’étalent comme les épines
De mes fleurs, reflétant la lune
Illusions sur mon cœur d’aspirateur
Qui sussurent à mon peuple cervical
Leur hypocrite prospérité
Menteurs
Joueurs
Douleur
Je suis aveugle, berné par ma soif
Des caresses courageuses d’un amour
Trop grand pour les mots
Trop fort pour mes maux
On gratte dans mon ventre
Le cri montant dans mes oreilles
On veut retrouver ma vérité
Je commence à la sentir
Cette vision de scission
Faibles respirations
Vibrant mon corps en son centre
Rouge de honte, de craintes
Et d’un passé qui crépite
Je ne veux plus fuir
Je veux cuire
Et renaître
Laissez-mon lit ici
J’y retournerai
Pour me souvenir
Et grandir
J’y laisserai à chaque tour
Le goût de mes larmes
L’odeur de mes coups
La violence d’un cœur
Folies du soir
Me répondre
Aux questions
Immenses comme les bateaux
Naviguant les veines de la Terre
Oui…
La perte.
Oui…
La force.
Que le soleil m’entende
Et que jaillisse le feu
Étincelant de mon corps
Partir…
Pour mieux trouver
Au revoir
Et à bientôt.
Le sang de mes angoisses s’étalent comme les épines
De mes fleurs, reflétant la lune
Illusions sur mon cœur d’aspirateur
Qui sussurent à mon peuple cervical
Leur hypocrite prospérité
Menteurs
Joueurs
Douleur
Je suis aveugle, berné par ma soif
Des caresses courageuses d’un amour
Trop grand pour les mots
Trop fort pour mes maux
On gratte dans mon ventre
Le cri montant dans mes oreilles
On veut retrouver ma vérité
Je commence à la sentir
Cette vision de scission
Faibles respirations
Vibrant mon corps en son centre
Rouge de honte, de craintes
Et d’un passé qui crépite
Je ne veux plus fuir
Je veux cuire
Et renaître
Laissez-mon lit ici
J’y retournerai
Pour me souvenir
Et grandir
J’y laisserai à chaque tour
Le goût de mes larmes
L’odeur de mes coups
La violence d’un cœur
Folies du soir
Me répondre
Aux questions
Immenses comme les bateaux
Naviguant les veines de la Terre
Oui…
La perte.
Oui…
La force.
Que le soleil m’entende
Et que jaillisse le feu
Étincelant de mon corps
Partir…
Pour mieux trouver
Au revoir
Et à bientôt.
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