C'est dans les yeux d'amande d'Amandine que je me rends compte de la fragilité des hélicoptères fiévreux.
Encore, et encore, je regrette la folie des derniers jours passés sous les mains des Dieux. Pourras-tu m'entendre d'aussi loin ?
Oublie ça et donne moi mon Coke.
J'espionne l'espoir des poires en-dessous des fugères endiablées de mortadelle.
Cacatoès, c'est l'essence de mon art. De mon art. Et la répétition aussi.
Public, asseyez-vous que je ne vous écoutes pas. Ce soir, je vous écoutes. Ah tiens, la contradiction. Tiens je regarde mon regard. Tiens, j'écris mon regard de mon regard. Too much. Non, mais, ça suffit la complaisance dans des bottes trop roses.
Je danserais bien, mais tu ne veux pas enlever tes pieds de sur ma face.
Horgontine est un nom affreux, peu importe l'être vivant ou l'objet inanimé à qui il peut être attribué.
Change-moi que je trouve en trombe mes supports à poule.
Coucou.
Je suis là. Et pas lui. Et pas elle non plus, d'ailleurs. Commençons par le début.Ils sont des blocs, des blocs, qui ne bougent pas, qui ne bougent pas. Et ce n'est rien du tout.
«L'agonie». Je parle bien du roman.
Je suis en colère de l'absence de ta peau dans mes yeux. Si jamais tu veux venir près de moi, ne me le demande pas ; viens, ne prends plus le temps, ne te déhydrates pas ; je t'attends.
Oui, oui. Oui. Faut croire ce qu'il faut croire. Croire ce qu'il faut croire.
Je ne sais plus quoi écrire, à part Hummus, car ça finit toujours bien une conversation.
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