Les mains sur mes yeux
Je contemple faussement
Tes expirations d’amitié
Tes milles bras de soutien
Comme une lance pointue
Que je retiens entre mes dents
Je m’éclipse derrière les autres
Pour ne pas me briser contre toi
À qui la coquille l’emmurant ?
J’aimerais plonger dans nos eaux
Pour prendre les coraux étouffants
Et regarder, voir nos ficelles rouges
Saisir les raisons de sublimations de feu
Si mes désirs se frappent
C’est que je te hais
C’est que je t’aime
L’air entrant
J’inspire
J’espère
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2 commentaires:
Hmmm. Très bon, même si le propos semble assez hermétique...
je seconde Mathieu, c'est très bon mais difficile à comprendre.
Je t'aime!
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